mardi 29 décembre 2009

PLUIE D'ETOILES


Caen, durant les fêtes de fin d'années.

vendredi 25 décembre 2009

HABIT DE LUMIERE





CAEN A REVETU SON HABIT DE LUMIERE DURANT LES FETES DE FIN D'ANNEE.

vendredi 11 décembre 2009

CAMILLE BLAISOT




Camille Blaisot naquit à Valognes, le 29 janvier 1881. Après
de brillantes études à l’université de Caen, il devint avocat.
Elu député en 1914 et en 1919, il fut aussi conseiller général de
Caen-Ouest durant de nombreuses années. Pendant la
Seconde Guerre Mondiale, il fut déporté à Dachau. Il mourut
le 24 janvier 1945.

vendredi 30 octobre 2009

L'ECOLE SUPERIEURE D'ARTS ET MEDIAS DE CAEN


L'Ecole des Beaux-Arts a été créée en 1795. Elle était implantée au sein de l'Université (actuel square C. Blaisot). Après la Seconde Guerre Mondiale, elle fut éclatée sur quatre sites : hôtel particulier du 18ème, rue de Geôle, collège Pasteur, rue Pasteur, école Fernand Léger, Bd Dunois et à l'école Marcel Aymé, à la Pierre Heuzé. En octobre 2009, ils fusionneront en un lieu unique à la Presqu'île et ils prendront le nom d'ESAM DE CAEN.

jeudi 20 août 2009

LE CHEMIN VERT

Le quartier doit sa dénomination agreste et bucolique à un chemin de terre bordé d'arbres qui conduisait à des champs au Nord de Caen.

mardi 18 août 2009

LE CHEMIN VERT



La réalisation de ce quartier a commencé en 1964 et elle s'est achevée en 1975. Le Chemin Vert est le plus grand quartier caennais par sa superficie (250 ha). Aujourd'hui, il compte presque 9000 habitants. Au début des années 70, dans ce quartier « champignon », y résidaient 12 000 personnes. A cette époque, l'école « Authie Nord » était l'établissement scolaire dont l'effectif était le plus important du département du Calvados.

lundi 17 août 2009

La Maladrerie N°2

La Maladrerie doit son nom à un établissement médiéval réservé aux malades souffrant de la lépre.

samedi 15 août 2009

La Maladrerie

Au XI ème, le futur quartier de la Maladrerie était un lieu désert, sans aucune habitation. En raison de son isolement*, Lanfranc choisit ce site pour édifier une petite maladrerie. Elle fut construite à la fin des années 1060 sur la route de Bayeux. Un siècle plus tard (1160), Henri II fit construire une seconde maladrerie, la léproserie de Notre Dame de Beaulieu. La superficie de son enclos était de 4 ha 86 ares. Chaque lépreux disposait d'une pièce dotée d'une cheminée. A partir de 1696, Beaulieu fut reconverti en lieu de détention pour vagabonds. Quelques décennies plus tard, on y interna les aliénés. En 1820, ils furent transférés au « Bon Sauveur ». Enfin, Beaulieu devint la Maison Centrale que nous connaissons aujourd'hui.
Au fil du temps ce faubourg se développera. Au début du XX ème siècle, il sera même relié au centre ville par un tramway électrique. Enfin, la Maladrerie compte aujourd'hui près de 9000 habitants.
*Il fallait éloigner les malades pour éviter la propagation de la lèpre puis de la peste auprès des bourgeois caennais.

jeudi 23 juillet 2009

ETYMOLOGIE -



UN CIMETIERE
Etymologiquement, ce mot signifie "lieu où l'on dort ensemble". Il vient du grec koimètèrion qui peut se traduire par "dortoir", par le latin ecclésiastique coemeterium : d'après le verbe grec koimân qui signifie "dormir du sommeil de la mort".


mercredi 22 juillet 2009

Au cimetière Saint Pierre










 
Quelques pensées gravées sur des piliers à l'entrée du cimetière.
La mort étend dans la bière le roy comme le valet.
.
C'était hier à nous, c'est à vous au jourd'hui. Vado mori.
.
Ici, nous sommes tous égaux.
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J'ai été ce que vous êtes et vous serez ce que je suis.
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Nous avons été et c'est tout...
.
Notre vie n'a été qu'un songe et de même sera la vôtre.
.
Naître, souffrir et mourir voilà l'histoire de tous les hommes venant au monde.
.
Ici , l'école de la sagesse.
.
Ici, viennent finir les peines et les plaisirs.
.
Aujourd'hui à moy demain à toi.


lundi 20 juillet 2009

cimetières de clôture


Des communautés religieuses possédaient également des cimetières dits « cimetières de clôture ». Vingt cinq nécropoles sous ce statut sont mentionnées dans un carnet de notes* ayant appartenu à l'architecte Gillet. Il est à noter que sa liste n'est pas exhaustive. Nous pouvons affirmer qu'avant la Révolution, Caen comptait plus de quarante cimetières dont 16 cimetières paroissiaux. Enfin, leurs superficies cumulées couvraient 27 ha.

*notes rédigées en 1779.

TOUS EGAUX ?


Certains disparus paraissent avoir laissé, en tirant leur
révérence, un vide plus important que d’autres. Les pertes
s’estiment autant que les profits, à l’architecture des tombeaux.
De leurs immodestes sépultures, les notables affirment une
éternelle prééminence sur les humbles croix des gens du peuple.

dimanche 19 juillet 2009

CIMETIERES DE CAEN


Au cours des années 1880, six cimetières seront désaffectés : St Ouen, St Etienne, St Pierre, les Quatre Nations, St Jean et l'Hôtel-Dieu. Celui de Vaucelles sera transféré boulevard Lyautey. Enfin, deux cimetières seront crées au Nord-Est(1) et au Nord-Ouest(2) de la ville.

(1)Cimetière Clémenceau.
(2) Cimetière St Gabriel

samedi 18 juillet 2009

DU MEME AUTEUR : Ph.DENIS




DU MEME AUTEUR : Ph.DENIS


PONT ERAMBOURG DE LA REVOLUTION A NOS JOURS
EDITIONS CHARLES CORLET. 1981.

UN VILLAGE DU BOCAGE : St DENIS DE MERE
L'ECHO DE LA SUISSE NORMANDE. 1986.

CLECY, CAPITALE DE LA SUISSE NORMANDE
EDITIONS CHARLES CORLET. 1988.

BALADES EN CALVAD'ORNE. (français/anglais)
L'ORNE COMBATTANTE. 1993-94.

VELODRAME
DERAILLEURS DERNIERES. DECEMBRE 1995. CAEN.

LE PERE NOEL ET LE LOUP. (conte)
L'ORNE COMBATTANTE. 14/11/96
OUEST-FRANCE. 24/12/96.

SUR LES TRACES DE TES ANCETRES
EDITIONS LA PLANCHE A L'ANE. T1 : 1995. T2 : 1997.

MONDEVILLE. LE QUARTIER CHARLOTTE CORDAY AU FIL DU TEMPS.P.A.L.
1995.REEDITION EN 1999

BIL'AN
L'ORNE COMBATTANTE. 27/11/97

LE CYCLACTEUR
VELOCITE. N°43. SEPTEMBRE 1997. STRASBOURG.

CAEN : PROMENADE A LA PIERRE HEUZE
CO-AUTEUR. EDITIONS LA PIERRE QUI CHANTE. 1998.

MONDEVILLE SOUS LES COUVERTURES
EDITIONS LA PLANCHE A L'ANE. 1999.

EN FLANANT A CAHAN
P.A.L. 2000.

MONDEVILLE:LES JARDINS SECRETS DU MARAIS
P.A.L. 2005.

sites web :

http://monsite.orange.fr/cahan


http://monsite.orange.fr/histoire-ch.corday


http://monsite.orange.fr/aufildunoireau

http://monsite.orange.fr/saint-remy-calvados

BLOGS :
.
MONDEVILLE, ECRIN DE LA MEMOIRE OUVRIERE
http://marais-mondeville.over-blog.com
.
RASED DU CHEMIN VERT
http://www.etab.ac-caen.fr/blogedu/rasedcheminvert/


ENTRE TERRE ET EAU : LE MARAIS DU BIEZ A MONDEVILLE
http://mondeville-marais.oldiblog.com
.
ESCAPADE A CLECY
http://20six.fr/ph-denis/
.
SAINT DENIS DE MERE, PAR MONTS ET PAR VAUX
http://denis.ultim-blog.com
.
MONDEVILLE : DU VILLAGE A LA VILLE
http://marais-mondeville.over-blog.com/

UN VILLAGE DU BOCAGE:SAINT DENIS DE MERE
http://saintdenisdemere.blogspot.com

BALADES EN CAEN'eau
http://baladescaen.blogspot.com

vendredi 17 juillet 2009

LES CIMETIERES DE CAEN AU 18ème SIECLE -


LES CIMETIERES DE CAEN AU 18ème SIECLE -
A Caen, à la fin du XVIIIème siècle, il existe une multitude de petits cimetières paroissiaux.
La paroisse St Pierre en compte trois :
Le cimetière St Pierre ( près de l'église)
Le cimetière des Carmes
Le cimetière Buquet
La paroisse St Jean est dotée d'un seul cimetière dont la superficie est de 544 toises.
La paroisse Notre Dame possède un cimetière à quelques pas de la Grande Boucherie.
La paroisse St Sauveur a un petit cimetière (112 toises) proche de l'ancienne université.
La paroisse St Etienne Le Vieux en possède un également
La paroisse St Georges a un minuscule cimetière (8 toises) dans l'enceinte du château
La paroisse St Gilles est dotée d'un cimetière de 632 toises situé autour de l'église.
La paroisse St Martin a un cimetière de taille modeste (364 toises)
La paroisse St Michel de Vaucelles (800 toises) est situé à flanc de coteau près de l'église.
La paroisse St Ouen a un cimetière de 280 toises.La paroisse de St Julien possède un cimetière de 840 toises.
La paroisse Ste Paix a un cimetière de 250 toises environ.

mercredi 15 juillet 2009

LES CIMETIERES DE CAEN


Les « villages des morts » sont porteurs de mémoire comme la « ville des vivants ». Ils témoignent de l'histoire comme de l'art, des croyances comme des techniques, de la permanence du respect et de l'évolution des pratiques. Ces champs de repos reflètent l'histoire locale et également nationale : ils accueillent le commun des mortels et les notabilités; ils souffrent du passage du temps et de la standardisation des modes.